Coraline
Sofía Robles, Javiera Figueroa, Tessa Borragán y David
Álvarez
Il était une fois une petite fille appelée
Coraline. Quand Coraline avait sept ans, sa mère est morte dans un accident de
voiture, et Coraline est allée habiter chez sa tante dans la banlieue de Paris.
Sa tante s’appelait Florence. Elle était
laide avec les yeux très bleus presque blancs. Elle portait toujours un chapeau
rose avec une fleur blanche et une robe marron très vieille. Elle portait aussi
des chaussures rouges. C’était une horrible
tante très méchante. Elle maltraitait Coraline.
10 Octobre 1986 :
Aujourd’hui c’est l’anniversaire de
Coraline. Elle a dix-huit ans. Elle habite encore chez sa méchante tante. Elle
est contente parce que’aujourd’hui, finalement, c’est le jour qui changera
tout. Elle va quitter sa tante. Coraline prend le sac à dos qu’elle a volé
hier. Il n’y a pas beaucoup de choses dans son sac à dos: des vêtements, de
l’argent qu’elle a volé à sa tante (Elle n’aime pas voler mais elle en avait
besoin) et une photo. C’est la photo d’une fille. Elle ne sait pas qui est la
fille, mais elle l’a trouvée dans la chambre de sa mère avec un collier très
bizarre. Elle prend le collier et elle descend les escaliers. Florence est dans
la cuisine en train de boire un thé. Coraline ouvre la porte et elle s’en va
pour toujours.
Coraline commence à marcher. Elle va vers
la maison de ses parents, « sa maison » pense Coraline. La maison est
près du bois de Boulogne. C’était une maison très jolie, mais maintenant elle
est inhabitée et vieille. Quand elle arrive, elle se rend compte qu’elle n’a
pas de clef. Elle casse une fenêtre avec une pierre, et saute par la fenêtre.
Coraline est dans la chambre de ses parents, puis, elle comence à pleurer.
Elle est seule, elle a peur, mais elle
s’endort.
11 Octobre 1986 :
Coraline se réveille. Elle ne se souvient
plus de rien de la nuit d’avant. Elle descend les escaliers de la maison. Elle
va vers une petite chambre où sa mère a gardé tous les meubles. Mais il n’y a
plus rien. Sa tante, Florence, a tout vendu.
Mais au fond, à côté de la fenêtre, il y a
un très vieux livre. Qu’est-ce que c’est, ça?
-
se demande Coraline.
Elle commence à lire. C’est le journal
intime de sa mère.
12 Octobre 1986 :
Elle a passé tout l’après-midi d’hier à
lire. Elle n’a pas faim parce qu’elle a découvert toute la vérité sur sa
famille.
Sa mère s’est suicidée. Pendant 4 ans elle
a essayé de trouver son mari mais elle n’a pas pu. Le père de Coraline n’est
pas mort : des trafiquants de drogue l’ont enlevé.
Maintenant Coraline connaît les enquêtes
de sa mère, elle veut retrouver son père.
Mais Coraline a faim. Elle va dans la
forêt et elle vole un peu de pain dans un panier de picnic.
Après elle retourne à la maison pour
continuer l’enquête.
13 Octobre :
Hier, Coraline a trouvé un numéro de
téléphone dans le petit livre de sa mère.
Elle téléphone, et explique son problème
au monsieur qui est à l’autre bout du téléphone.
C’est Fréderic, un ami de son père.
Ils prennent rendez-vous pour le
lendemain.
14 Octobre :
Fréderic l’invite à déjeuner un croissant
avec un café au lait. Il commence à raconter l’histoire de son père.
Le père de Coraline était un trafiquant de
drogue très connu dans le monde. Un jour il a voulu quitter son travail mais
ceux qui travaillaient avec lui, l’ont enfermé dans une grotte sous terre.
Fréderic raconte à Coraline qu’il avait enquêté avec sa mère sur la disparition
de son père.
Après le suicide de sa mère, il avait
continué seul son enquête. Pendant très longtemps il avait interrogé de
nombreux témoins et avait obtenu beaucoup de pistes qui menaient jusqu'à lui,
mais il n’a pas retrouvé son père.
Coraline et lui, ils decident de prendre
rendez-vous pour un autre jour et reprendre la conversation.
15 Octobre 1986 :
Elle a volé un peu de nourriture pour
déjeuner ce matin.
Elle est très agitée. Elle prend le petit
livre, le collier et la photo et elle part en marchant vers la maison de Fréderic.
Chez Fréderique, Coraline commence à lire
tous les documents de l’enquête.
Elle trouve une photo avec le collier
qu’elle porte.
-C’est
une clef, et pas un collier !!!. La clef qui peut libérer mon père.
Maintenant je comprends tout le mystère.
Coraline et Fréderic, descendent une
petite colline dans le bois de Boulogne. Lá-bas ils pensaient que c’était un
rocher, c’est peut-être une grotte!!!!
Ils sont devant un rocher. Coraline elle
approche la clef, elle glisse parfaitement.
Voilà, la porte s’ouvre. Le père de Coraline
est là avec le repas que les ravisseurs lui apportent un fois par semaine.
Coraline embrasse son père.
À cet instant, Coraline est
heureuse : Personne ne pourra plus la séparer de son père.
Histoire française
Iulian Cebotari, Bruno Santos et Carlos González
Il était six heures de l’après –midi
quand les passagers se sont embarqués dans le bateau Palau 416. Dans la cabine
316, Peter Lee et Dimitri Makarov sortaient les choses de leurs valises et ils
les rangeaient dans les armoires.
Peter
Lee était un jeune homme américain qui avait vingt-cinq ans, ses parents l’ont envoyé là pour travailler parce qu’il ne
faisait rien. Il n’étudiait pas et il ne voulait pas travailler, non plus, il
jouait seulement à la Play Station 3 et à l’ordinateur. Il pensait qu’un jour
il deviendrait très connu en You Tube mais ça, c’était un simple rêve. Peter
Lee avait l’air méchant parce qu’il n’aimait personne, il écoutait Heavy Metal
et il portait un collier à pointes.
Son
copain de cabine, Dimitri Makarov, était un homme russe de quarante ans qui
était très fort parce qu’il faisait de l’haltérophilie, il pouvait lever
jusqu’à 120 Kg. Il aimait la musique classique, les sports et travailler très
dur. Il avait travaillé dans ce bateau pendant huit ans. Quand Dimitri avait 14
ans, il a gagné la médaille d’or de natation et après il a eu un grand succès
comme danseur. Il était très gentil et agréable mais quand il se fâchait tout
le monde avait peur de lui. Il avait toujours une carafe de vodka.
Après
avoir rangé leurs affaires ils ont eu une réunion dans la salle à manger pour
leur présenter le bateau et le travail qu’ils devaient faire chaque jour. Tout
le monde était ici sauf Peter Lee, alors Dimitri est allé à leur cabine. Peter
Lee était en train de jouer à son ordinateur et Dimitri l’a entouré avec ses
bras et il l’a traîné jusqu’à l’assemblée. Pour cette action Peter Lee a dû
nettoyer les toilettes avec une brosse à dents.
À
vingt-et-une heures tout le monde, les 400 passagers, dînaient ensemble.
Le lendemain
chacun travaillait à son poste comme les fourmis, chacun avait son rôle.
Dimitri était dans la salle de contrôle pendant qu’il buvait du café Marseille.
Peter Lee était en train de manger un sandwich et de boire du lait à la
cantine. Quand il a fini, Peter a nettoyé le plancher de la terrasse avec un
balai et il a vérifié si la marchandise, des machines agricoles et
industrielles, était bien fixée.
Dimitri
a vérifié s’ils étaient sur la bonne voie et si les moteurs fonctionnaient
correctement.
À
deux heures et demie l’équipage du bateau a commencé à manger, Dimitri a mangé
de la viande frite avec des chips et Peter du poisson grillé et du riz. Après
le déjeuner ils se sont reposés.
Tout
à coup, la foudre a frappé près du
bateau, le ciel était rempli de nuages et les vagues ont augmenté, provoquant
que le bateau se déplace brusquement. Alors l’équipage a compris qu’il y avait
un orage.
Le
capitaine a dit à tout le monde qu’il s’agissait d’un fort orage du Pacifique
et qu’ils devaient être prudents. La tempête a empiré et les vagues battaient contre le bateau très
fortement. Il pleuvait et le vent soufflait avec une force énorme. Tout à
coup une énorme vague a renversé le bateau et l’équipage est
tombé dans l’eau.
Dimitri
a réussi à s’accrocher à un canot de sauvetage et il a tenté de secourir ses
compagnons mais il a seulement sauvé
Peter. Au canot, ils se sont accrochés comme ils ont pu et ils ont résisté à
l’orage.
Lorsque
le temps s’est amélioré, ils se sont reposés et ils ont essayé de se parler,
mais Dimitri et Peter ne parlaient pas la même langue. Après 3 heures ils ont
vu une île et ils sont allés jusqu’à elle. Quand ils sont arrivés, ils n’ont vu
pas de traces de civilisation, alors ils ont construit un refuge.
L’île
où ils sont arrivés était Sorol, une île de Micronésie qui était habité par des
cannibales.
Le
refuge, ils l’ont construit avec le bois qui était par terre et avec des
feuilles de palmier. Il n’était pas le meilleur refuge du monde, mais il leur a
permis d’y passer la nuit. Le lendemain, par des gestes (parce qu’ils ne
parlaient pas la même langue), ils se sont organisés pour chercher de l’eau et
de la nourriture. Dimitri a trouvé des noix de coco et il a pensé qu’ils
pouvaient boire l’eau de noix de coco, alors il les a prises. Peter a vu un
bananier et il a commencé à prendre les bananes.
Quand
ils sont retournés au refuge, ils ont mangé les bananes, ils ont bu l’eau des
noix de coco et ils se sont reposés.
Quand
ils se sont réveillés, ils ont vu un groupe de personne qui étaient en train de
les regarder fixement. Peter et Dimitri avaient peur de ces hommes parce qu’ils
parlaient une langue très rare et ils ne comprenaient rien. Dimitri a essayé de
parler avec eux mais ç’a été impossible. Tout à coup, un homme a commencé à
courir vers eux. Quand il était près d’eux, Dimitri l’a frappé avec la main et
l’homme est tombé. Immédiatement tous les hommes ont commencé à courir vers eux
et ils les ont attachés avec des cordes.
Après,
les hommes les ont emmenés à l’intérieur de l’île. Là il y avait beaucoup de cages
avec des hommes dedans. Il y avait aussi un feu de bois.
Un
homme qui était dans une cage leur a dit :
-Vous me
comprenez ?
Immédiatement
Dimitri et Peter lui ont répondu :
-Oui !!!
Dimitri
et Peter parlaient la même langue, le français et ils ne le savaient pas
jusqu’à ce moment.
Après
l’homme leur a dit que la tribu était formée par des cannibales qui mangeaient
les personnes qui étaient mortes et les personnes qu’ils ne connaissaient pas,
ils les enfermaient dans des cages. Après cinq minutes Peter Dimitri et
François (l’homme qui était dans une cage) ont commencé à penser à quelque
chose pour pouvoir sortir de là.
Dimitri :
Je pense que si je leur demande de l’eau ils devront ouvrir la cage et je
pourrai échapper et ouvrir vos cages.
Peter :
Je crois que c’est peut-être un bon plan.
François :
Oui mais comment est-ce que tu pourras parler avec eux.
Dimitri :
Je n’ai pas besoins de parler avec eux. Je vais essayer de faire des gestes
qu’ils vont comprendre.
Le
plan de Dimitri a fonctionné et les cannibales lui ont apporté de l’eau. Ils
lui ont ouvert la porte et Dimitri a échappé mais les cannibales lui ont tiré
des flèches qui avaient des drogues et Dimitri s’est endormi. Quand il s’est
réveillé il était entouré du feu de bois. Peter et François y étaient aussi.
Après
dix minutes tous les cannibales étaient autour d’eux et ils les ont brûlés et
ils les ont mangés.
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