martes, 31 de marzo de 2015


PARIS, LA VILLE DE L’AMOUR

Elena Hernández
Laura Sancibrián
Adriana Zamanillo


-Oh là, là, papa!
-Tais-toi ma fille!
-Mais non, je ne veux pas être avec lui seulement, parce qu'il est tout-puissant!
-Mais qu'est-ce que tu dis Valentine! Oh mon Dieu! Ses parents sont les personnes les plus importantes de Paris! Ils ont beaucoup d'argent!
-Ce n'est pas important pour moi! Je ne l'aime pas, et je ne veux pas être toute ma vie avec une personne que je n'aime pas!
Valentine est une fille avec les yeux marron, les cheveux bruns et bouclés, petite et avec les idées claires. Pas du tout bon chic bon genre ni capricieuse. Elle a seize ans mais elle fait quatorze, parce que son visage ressemble á une petite fille.
Le servant de la maison a dit:
-Pardon, mais pourquoi vous êtes en train de bramer? Qu'est-ce qui se passe?
Le père de Valentine dit:
-Rien Pierre, ma fille ne veut pas être avec son copain Antoine, elle veut un garçon normal et plus humble.
-Alors monsieur... maintenant il n'y a pas de garçons normaux, bon, mon fils est un garçon très humble, mais son seul default est qu'il n'a pas d'argent, mais c'est un garçon très travailleur et il aime étudier.
-Alors Pierre, je sais que tu n'as pas beaucoup d'argent, je veux donc payer les études à ton fils.
-Oh là là monsieur... mais non... vous ne devriez pas payer les études de mon fils.
-Taisez-vous Pierre! J'ai pris une décision!
Il était dix heures et demie, Valentine est entrée au bureau.
-Bon, je vais dormir, doudou.
Le jour suivant, Jacques est venu chez Valentine pour récupérer son père.
-Bonjour, ça va?
-Heu... bien, et toi? Je m'appelle Jacques, et toi?
-Bien, merci! Moi, je suis Valentine. Qu'est-ce que tu fais ici?
-Bon, je suis le fils de ton servant Pierre.
-Oh d'accord.
Aujourd'hui est le premier jour du lycée, et Jacques est un garçon sympathique et très timide, il a les cheveux bruns, les yeux marron, il est mince, beau, il s'habille mal mais... il a un sourire très joli.
- Bon, je vais au lycée.
-Attends! Quel est ton lycée?
-Le Jules Verne, pourquoi?
-Oh là, là, c'est vrai? J'y irai aussi, parce que ton père me paie les études, si tu veux nous pouvons aller ensemble.
-Mon Dieu! Vraiment? C'est génial! On y va Jacques.
Quand il est entré en classe, il s'est présenté, il a fait de nouveaux amis, et il a connu Antoine, le copain de Valentine. 
Antoine est un garçon grand, blond, riche, chic, avec les yeux bleus et tout-puissant.
Quand ils ont fini les cours, Valentine et Jacques sont retournés ensemble chez Valentine pour manger. Après, ils sont allés au cinéma.
Ils sont arrivés à la maison à neuf heures, Valentine est allée chez-elle et Jacques chez-lui.
Valentine est entrée à la maison avec un sourire et les yeux brillants.
Valentine a été toute la nuit en train de penser à Jacques et si elle devait dire à Antoine qu'elle aime vraiment Jacques.
Valentine et Jacques ont été ensemble la plupart de la semaine et ils se sont beaucoup amusés ensemble.
Un jour Jacques est allé chez Valentine pour aller ensemble en promenade. Le soir ils sont allés à un parc où ils se sont assis sur un banc et ils ont parlé de leurs choses pendant une heure. Après, tout était silencieux. Jacques a commencé à s'approcher de Valentine et il lui a dit à l'oreille:
-Je t'aime.
Valentine et Jacques se sont embrassés.
Quand ils allaient chez eux Valentine a commencé à parler avec Jacques de ce qui s'était passé avant, et elle lui a dit:  
-Euh, bon ne t'inquiète pas. Nous ne dirons rien.
-Je vais parler avec Antoine pour lui dire que je suis avec toi et que je ne l'ai jamais aimé.
Le lendemain quand les cours ont fini Valentine est allée parler avec Antoine.
-Bonjour Antoine.
-Bonjour!
-Bon, je dois parler avec toi; j'ai été tout la semaine avec Jacques et nous nous sommes embrassés. Pardon, Antoine, mais je ne t’aime pas et je ne t'ai jamais aimé. Je suis avec toi parce que mon père me force. J'aime vraiment Jacques...
-Comment tu m'as fait ça, Valentine?
-Pardon... mais ce sont mes sentiments...
-Bon... j'ai besoin d'un temps mais je pense que je ne peux rien faire pour te récupérer... Au revoir Valentine...
-Pardon...
Les semaines se sont passées. Jacques et Valentine faisaient ce qu'ils avaient dit, ils gardaient leur relation en secret. Mais il était frustrant de ne pouvoir le dire à personne. Tous les soirs, après le lycée, Valentine et Jacques sortaient ensemble, pendant que le père de Valentine pensait qu'elle était avec ses amies. Mais  un soir tout a changé. 
Ils étaient dans des très jolis jardins, en train de rire et de jouer. Valentine est montée sur un banc et elle a commencé à danser et chanter, elle n'était pas très bonne, mais c'était amusant. Il a commencé à se faire tard pour retourner à la maison.
-Allez, il est tard, il faut retourner.
-S'il te plait, dix minutes.
-Mais non, ton père se fâchera.
-Bon, mais... si tu me prends.
-Valentine...NON!!!
Valentine allait sauter du banc, mais elle a trébuché, et elle est tombée par terre et elle s'est frappée à la tête. Elle a perdu connaissance. Jacques ne savait pas ce qu'il devait faire, alors, il a pris Valentine et il est allé chez-elle.
-Qu'est-ce qui s'est passé?
-Madame, nous étions dans un parc, et elle a trébuché, elle s'est frappée à la tête.
-Ce n'est pas ta faute.
-Qu'est-ce qui s'est passé? Pourquoi il est ici?
-Monsieur, excusez-moi...
-Qu'est-ce que vous avez fait avec ma fille?!! Sortez de chez-moi!!
-Mais, monsieur je peux vous expliquer...
-Sortez de chez moi!! Maintenant!!
Quand Valentine s'est réveillée le jour suivant...
-Qu'est-ce que je t'avais dit?! Je t'ai interdit de voir ce garçon! Maintenant tu ne sortiras pas de cette maison. Tes cours seront ici, tu n'auras pas de visites, tu ne feras rien si tu n'as pas mon consentement. C'est clair?
-Mais papa, tu ne peux pas faire ça!!
-Si, je peux, je suis ton père, et tu feras ce que je dis!!
Il est sorti, et il a fermé la porte de la petite chambre. Valentine était dans le grenier, elle avait un petit lit, une petite salle de bain avec une baignoire, et un bureau.
La porte était fermée à clé. Valentine était dans une cage. Elle se sentait triste.
Après trois semaines sa mère est entrée dans la <<chambre>>.
-Bonjour ma petite perle, ça va?
-Horrible...
-Je le sais, écoute-moi, nous n'avons beaucoup de temps. Ton père est allé à une réunion. Je sais que tu aimes Jacques et que Jacques t'aime. Vous aurez un très joli et bon futur ensemble.
-Mais, maman, comment est-ce que tu veux ça?? Il est impossible...
-Écoute-moi, Valentine, Pierre est dans une voiture. Il t'amènera avec lui. Vous devez prendre un train ce soir. Vous irez en Espagne, et après vous prendrez un bateau et vous irez en Italie.
-Mais, maman, je n'ai pas d'argent, et Jacques non plus, et je ne peux pas te laisser ici, et papa...
-Ma fille, je serai bien, et ton père doit voir que tu dois faire ta vie comme tu veux, l'argent n'est pas un problème, j'ai parlé avec Jacques et son père, ils vont t'expliquer. La vie est courte, et il faut la vivre. Si tu ne vas pas avec Jacques, tu vas te repentir.
-Bon, c'est vrai, maman, merci, je t'aime.
-Moi aussi, et maintenant, allez-y.
Après vingt minutes, Valentine et Pierre sont arrivés à  l’endroit où était Jacques. Valentine a couru dans ses bras, et ils se sont embrassés.
-Valentine, tu sais... que je t'aime?
-Et Jacques, tu sais... que je t'aime aussi?
-Vite, ou nous perdrons le train... allez... les dames d'abord...
-Avec plaisir... merci.
Et ç'a été le début d'une nouvelle vie. Valentine pouvait seulement sourire et penser qu'elle allait avoir la vie qu'elle avait voulue depuis qu'elle était une petite fille. Et elle allait vivre un futur parfait avec la personne qu'elle aimait le plus.



viernes, 27 de marzo de 2015

La vie d'un criminel

Enrique Valderrama
Iulian Cebotari
Carlos González
Óscar Moreno

Mike, John, Fol et Lol forment le groupe de personnes les plus dangereuses du monde. Mike est le plus grand, mais le plus attractif et il est en prison pour tuer sa belle-mère, John et Fol ont le même âge et sont égaux puisqu'ils sont jumeaux, ils sont en prison pour voler dix millions d’euros à Las Vegas. Et Lol est le plus petit et le plus gros des trois, il porte toujours des lunettes rondes qui font ses yeux énormes et il est en prison pour un crime qu’il n’a pas commis: il est accusé de tuer la belle-mère du président.

Ils se sont rencontrés il y a quelques années dans un vol et ils ont commis d’autres crimes horribles, et pour ça ils sont dans la prison de haute sécurité d’Ohio, la plus grande prison des États-Unis, où se trouvent des très connus criminels, comme Mandingo Gutierrez, un narcotrafiquant de niveau mondial.

Ils sont entrés en prison en 2010 et ils veulent sortir. Il y a trois ans, ils ont commencé à creuser dans le sol de leur chambre, avec une petite cuillère de café qu'ils ont volée du restaurant de la prison. Aujourd'hui, ils ont trouvé un petit coffre avec quelques photos compromettantes du directeur de la prison, un homme très gros et chauve qui fume tout le temps. Avec ces photos ils feront chanter le directeur pour pouvoir obtenir un marteau-piqueur pour échapper.

Ils ont obtenu le marteau-piqueur et, maintenant, ils sont en train de creuser dans le sol rapidement, mais le marteau-piqueur fait beaucoup de bruit et un garde de sécurité très jeune va à la chambre.

À travers les barreaux ils tuent le garde et Mike prend l'uniforme du garde, ses clefs et ils laissent le cadavre dans l'un des lits de la chambre. Puis, ils ouvrent la porte métallique de la chambre de haute sécurité et comme Mike était déguisé en gardien, ils sortent de la prison.

Dans la sortie de l'énorme prison, il y avait un parking plein de voitures de police, alors Mike a cassé la glace d’une des voitures et tous sont silencieusement partis.

Comme ils veulent être libres et commencer une nouvelle vie, ils vont à l'aéroport de la ville et séquestrent un petit avion privé dans lequel Kiko Rivera, un très connu DJ et sa belle-mère voyagent. Mike sait piloter des avions, parce que, avant d'entrer en prison, il travaillait comme pilote dans une compagnie russe.

Après avoir décollé, ils se rendent compte qu'il y a un excès de poids parce que Kiko portait une énorme réserve de sandwiches et Lol jette Kiko et sa belle-mère hors de l'avion parce que la réserve de sandwiches n'entrait pas par la porte du jet. Mais ce n'était pas suffisant et John a lancé Fol de l'avion avec un parachute.

Après une heure de voyage, les délinquants arrivent à l'aéroport russe de Domodédovo, mais, quand ils atterrissent, la police était déjà sur la piste d'atterrissage. Ils sont sortis en courant de l'avion, il faisait mauvais, il faisait très froid, du vent et il neigeait. Les trois sont sortis de l'avion en courant mais Lol est tombé avec l'escalier de l'avion, l’un des policiers l'a pointé avec le pistolet et il lui a dit d’être tranquille, mais Lol n'a pas fait attention. Cependant, le policier n'a pas ouvert feu, ils les voulaient vivants.

Les délinquants sont sortis de l'aéroport, tout était couvert de neige et les habitants de Domodédovo avaient des traîneaux pour se déplacer par les rues de la ville. En ce momen, un traîneau a passé devant eux. Le traîneau était d'un homme et sa belle-mère. Mike a donné un coup à la belle-mère à la tête et ils sont montés dans le traîneau.

La police a suivi les délinquants mais, tout à coup, Fol est apparu avec le parachute et a fini avec les policiers, puis, il est monté dans le traîneau où les quatre ont échappé. Ils sont arrivés à un bois de pins où ils ont égaré la police et ils sont rapidement montés à une haute montagne enneigée.
            
          Les délinquants ont décidé de rester vivre dans la montagne et de construire un igloo pour ne pas être rencontrés par la police et pour réfléchir aux crimes terribles qu'ils avaient commis dans leurs vies.

Mais Lol a décidé de faire une chose horrible : cette nuit, quand ses amis étaient endormis, il les a attachés à un arbre et a téléphoné à la police pour obtenir le pardon et ne pas aller en prison. Quand la police est arrivée, elle a trouvé le cadavre de Lol et une note : «Nous irons où le vent nous guidera»

Les délinquants ont continué de commettre des crimes dans tout le pays mais la police ne les a jamais trouvés, puisqu'ils ne laissaient pas de pistes. Les gens disent que, maintenant, ils habitent dans les égouts de New York et que, si tu te promènes dans la rue la nuit et que tu t'approches à un égout, tu pourras entendre leurs voix en murmurant.



ALEX BALLON D´OR
Pablo González de la Lastra González
Francisco Javier Lobón Martínez
Pablo Martínez Rioja
Alex adorait jouer au football, mais la vérité était qu´il n´était pas très bon, ou, au moins, il croyait cela, parce qu´il ne marquait jamais de but. Un jour, une grande idée est venue à l´esprit d´Alex : d´inventer une machine pour marquer des buts et l´ajouter à ses baskets. Et il s´est mis au travail. Dans peu de jours il a réussi à imaginer un système infaillible, et a créé un dessin spectaculaire de baskets. Personne ne soupçonnerait jamais que ces baskets si hallucinants cachaient la seule machine capable de marquer des buts. Quand, enfin, il a terminé de faire la machine et il a commencé à l´utiliser, Alex est devenu le meilleur buteur de toute la ligue scolaire. Dans l´équipe, personne n´expliquait comment, du jour au lendemain, un joueur comme Alex, qui ne marquait jamais, mettait tout à coup tant de buts. Mais comme ils gagnaient toujours grâce à lui, personne n´a rien dit.
Un jour, un personnage du monde du foot a vu Alex jouer et il a attiré son attention, alors il l’a observé pendant quelques semaines pour voir s´il l´amenait à la sélection nationale pour rivaliser dans les championnats. Finalement il a décidé de l´amener avec lui. Le premier jour de l´entraînement avec la sélection il a été spectaculaire. Avec un joueur comme celui-ci, ils ne pouvaient pas perdre. Mais, alors, le jour de la distribution de l´équipement officiel de l´équipe, qui incluait quelques baskets hallucinants du sponsor principal de l´équipe, a approché.
- Je préfère utiliser mes baskets – Alex a dit, très préoccupé. En fin de compte, il n´était  personne sans ses baskets.
- Désolé Alex – a dit l´entraîneur-, l´équipement officiel inclut ces baskets, et si tu ne te les mets pas, tu ne pourras pas jouer.
- Alors je ne pourrai pas jouer – Alex a dit, peureux.
- Pourquoi? Il y a un problème? – a demandé l´entraîneur. -      Qu´est-ce qu´ils ont, tes baskets, de spécial, en plus d´être vieux et sales comme je n´avais jamais vu chez un joueur d´élite?
            Comme Alex ne savait pas quoi répondre, il a choisi de dire la vérité.
- Mes baskets ont une machine de marquer des buts dessinée par moi-même. Avec d´autres baskets je ne marquerai jamais de but. Tout le monde a commencé à rire aux éclats.
- C´est la plus grande sottise que j´ai entendue dans ma vie! – a dit l´entraîneur. – Mais je veux le vérifier. Mets-toi tes nouveaux baskets.
- Je ne veux pas devenir ridicule… - Alex a dit.
- Essaie, s´il te plaît – l´entraîneur a insisté. Alex s´est chaussé ses nouveaux baskets et a commencé à jouer. Au début il faisait tout de travers, mais au bout de vingt minutes il a recommencé à être le grand buteur qui avait été les derniers mois, et sans porter sa machine de marquer des buts.
- On dirait que tu n´es pas si mauvais – l´entraîneur a dit.
- J´ai dû avoir de la chance… - Alex a dit.
- Quelle chance? Ce qui arrive, c´est que la machine authentique de marquer des buts était déjà inventée, et seulement il fallait la tirer de ton intérieur – l´entraîneur a dit.
C´était qu´Alex est devenu le meilleur joueur de tous les temps.

FIN
LE TEMPS
                                                                      
                                                                       Clara Puente
                                                                       Tessa Borragán
                                                                       David Álvarez
Je me suis couché. Moi aussi, et moi.
Ç’a été un long rêve. Il a passé beaucoup de temps et nous nous sommes réveillés.
Tout était très étrange; chaque personne a vu deux personnes. Nous avons regardé les personnes et je leur ai demandé comment elles s’appelaient en me présentant avant.

-Je m’appelle David, David Reno. Qu’est-ce que je fais ici? Je ne sais pas où je me trouve. Comment vous vous appelez?

-Salut, mon nom est Clara Pont Llucière. Hier je me suis étendue sur le lit et je me suis réveillée ici… je ne sais pas répondre à ta question.

Les deux ont regardé l’autre femme en attendant qu’elle parle.       
-   
J    - Je m’appelle Tessa, mais vous pouvez m’appeler ‘Tess’. J’ai trente ans. Qu’est-ce que je fais? Qu’est-ce que c’est, ceci? Ce lieu? Quel mystère…

Nous avons fait deux pas et nous nous sommes rapprochés de la fenêtre; nous avons regardé par celle-ci.

Nous avons vu des rues, des gens, des voitures…

Il y avait une horloge en haut de l’église.

Le temps hors de cette mystérieuse pièce passait très vite David avait une montre et nous avons comparé les deux; dans la montre de David des minutes passaient et ce même temps, pour l’horloge de l’église, c’étaient dix heures.

Les gens bougeaient rapidement, le vent soufflait rapidement, les fleurs poussaient rapidement, les nuages se déplaçaient rapidement…

Nous voulions en sortir… Nous cherchions une porte mais il n’y en avait pas. Il semblait que nous étions attrapés, nous avons donc fait un plan. Nous sommes devenus très bons copains… mais nous voulions sortir.

Le temps continuait à passer. Nous avons décidé d’ouvrir une fente et crier au secours!... Personne ne nous a entendus.

Nous avions faim, soif… les jours étaient longs et, en même temps, courts.

Nous devions sortir de la pièce. Stress, peur… nous sentions beaucoup de choses. 

Qu’est que nous faisons? Nous allons mourir… Nous avons été deux jours sans eau, sans nourriture, dans ces peu de mètres carrés, sans pouvoir sortir, sans respirer de l’air frais, et en train de voir le temps passer.

Sans eau, uniquement nous pourrons survivre un jour de plus, nous pensions.

Nous n’avions pas de forces. Nous étions faibles, laids… Nous croyions mourir… nous n’avions rien… Et alors, nous avons pensé à retourner à nos vies, de la même forme que nous sommes venus à ce lieu: en dormant.

Quand la nuit est arrivée, dedans, selon l’heure de David, nous nous sommes endormis.

Les trois, nous avons rêvé avec notre ancienne vie… Tess a rêvé qu’elle était une magnifique actrice de Hollywood et qu’elle dansait dans un concert de Green Day. Les gens l’admiraient, tout était parfait pour elle, les choses étaient jolies et amusantes.
Clara, des minutes après, a rêvé qu’elle était la directrice de la plus grande entreprise d’art du monde. Elle faisait des tableaux pour des gens connus… Elle gagnait beaucoup d’argent, tant qu’elle pouvait  finir avec la pauvreté du monde, et, selon le rêve, elle l’a fait.

David a rêvé que sa vie était parfaite. Il avait la voiture jaune qu’il voulait, la femme indiquée à côté de lui, un travail complet dans lequel il était un bon homme d’affaires.
Il était heureux pour la première fois ... il avait ce qu’il voulait, il n’avait besoin de plus.

Les trois rêves étaient connectés de quelque manière cette boîte-là, les avait unis.

Huit heures après ils se sont réveilles, le plan n’avait pas marché.

La boîte était devenue encore plus petite et à chaque minute qui passait, plus et plus petite.

Elle s’était transformée en un petit espace, et ils n’avaient plus de solution que casser la vitre et sauter au vide.


Quand ils l’ont fait, le temps s’est arrêté.

miércoles, 25 de marzo de 2015

Pakito, notre héros

Javier Pacheco 
Blanca Ortega  
Marina Sordo  

Pakito est sorti de chez lui parce qu’il avait envie de se promener. Au retour il a acheté le journal dans le kiosque près de chez lui. Après il est allé au bar, il a bu un café et il a ouvert le journal, où il a lu: “Un groupe terroriste est en train de capturer des gens. Le groupe attaque tous les deux ans”, alors il a pris son manteau, il a payé, et il est parti chez lui pour penser sur ce cas.  

C’est un homme très fort, il est chauve et il a 60 ans. Il a aussi une boulangerie où il travaille les sept jours de la semaine. 

Quand il est arrivé chez lui, il a été au salon tout l’après-midi. Il avait déchiffré un autre cas comme celui-ci: il y a trois ans, un fou scientifique avait capturé un homme et l’avait tué pour le cloner. Il avait tout déchiffré. 

Le soir, il a nourri son perroquet, qui a un très bon odorat et dit toujours ce qu’il veut manger. Après, il a dîné et il s’est couché tôt parce que le jour suivant sera un jour fort. 

Le lendemain Pakito s’est levé, comme tous les jours, à sept heures du matin pour aller travailler. Il a pris son petit-déjeuner, du lait, du pain avec de l’huile et un jus d’orange, il s’est douché pendant dix minutes et il s’est habillé avec un pantalon, une chemise à carreaux et des chaussures. 

Sa boulangerie était à deux kilomètres de distance mais même s’il pouvait y aller à pied parfaitement il préférait aller en moto. 

Quand il y est arrivé, il a laissé sa moto garée en face de la boulangerie et il est entré pour préparer le pain. À huit heures et demie, Pakito avait ouvert la boulangerie et le pain était en train de cuire. Une heure s’est passée quand les clients ont commencé à venir ; pendant ce temps Pakito lisait le journal. 

Pakito se sentait un peu seul dans la boulangerie sans pouvoir parler avec personne, heureusement à midi  un client habituel y allait toujours, son voisin Fernand, qui, tous les jours, avait quelque chose à parler avec lui. Puis Fernand a apparu par la porte: 

-Bonjour Pakito- a dit Fernand. 
-Bonjour, qu’est-ce que tu veux?- a demandé Pakito. 
-Un pain de campagne- a-t-il répondu. 
-Ok. 
-Tu as écouté la nouvelle des terroristes? 
-Oui, je l’ai lue dans le journal. 
-Et ils savent aussi la description d’un homme. Il semble étranger, il mesure plus ou moins 1m80, il a un tatouage dans le poignet et une petite cicatrice sur le sourcil. 
-Je ne le savais pas-a dit Pakito-Ils savent beaucoup sur lui. 
-Oui, parce qu’un témoin l’a vu, bon je dois partir maintenant parce que j’ai beaucoup de choses à faire, au revoir- Fernand a pris son pain et il est sorti de la boulangerie. 
-Au revoir- a répondu Pakito. 

Il a passé tout l’après-midi à penser à cet homme. Cette description lui disait quelque chose, mais il ne se rappelait pas quoi. 

La nuit, quand il était couché, il s’est rappelé cet homme: un jour, quand il était à la boulangerie, un homme est entré pour acheter le pain et Pakito s’est souvenu de lui parce qu’il était très pressé et il semblait un brute avec sa cicatrice et il a acheté un pain normal et il a demandé à Pakito pour Fernand et s’il travaillait là. Il lui a aussi dit qu’il s’appelait Leonard Rousselot. 

Pakito s’est réveillé le matin et rapidement il est allé chez Fernand pour lui demander sur Leonard Rousselot: 

-Fernand, est-ce que tu connais un homme qui s’appelle Leonard Rousselot?- a demandé Pakito à Fernand. 
-Non, non…je…ne le… connais pas…- a répondu Fernand très inquiet. 
-Arrête! Tu dois me dire toute la vérité. 
-Bon, je dois te raconter une chose, Leonard Rousselot, c’est mon frère…il est un criminel parce qu’il a eu une enfance très mauvaise mais c’est mon frère et je l’aime, tu comprends ça, n’est-ce pas? 
-Oui mais ça, ce n’est pas une excuse pour les choses que ton frère a faites!!! 
-Mais c’est mon frère et je l’aime et si tu l’arrêtes je te tuerai!! 
-Si tu veux, tu peux le faire maintenant! 

BANG!!!