Inés Miñor Diego
Laura Melisa Aparicio
Daniel Chapero
Mercadal
Iván Martinez Salmón
Le mercredi, 7 Janvier, je me suis levé tôt parce
que j´avais une réunion dans le journal Charli Hebdo.
Avant, je suis allé au café pour prendre le petit déjeuner
avec mon ami Antoine. Il pleuvait et nous sommes restés au café une demi-heure.
-Salut mon ami, ça va?
-Pas mal, et toi?
-Bien, bien Comment ça va, le journal?
-Bien, j´ai une réunion dans une demi-heure.
-Tu n´as pas peur de réactions des islamistes violents?
-Pas du tout, nous sommes dans un pays libre.
Nous avons parlé sur les groupes dangereux et après
je suis parti pour le journal. Quand j’y suis arrivé, un copain m´a dit que le
directeur n´était pas arrivé et j´ai commencé à faire des dessins. Il était onze
heures.
À onze heures et quart, le directeur Charb est
entré très souriant et la réunion a commencé tranquillement. Nous en étions vingt.
Il y avait des dessinateurs, des écrivains, une psychanalyste, un économiste,
le policier qui assurait la protection de Charb, le correcteur et un invité.
Tout à coup, nous avons entendu des cris et des
coups de feu.
J´ai eu peur et nous nous sommes levés et nous avons
regardé par la fenêtre. Nous avons vu deux hommes avec des vêtements noirs et
des cagoules, armés de fusils d´assaut. Nous étions effrayés et le directeur a
pris un téléphone pour appeler la police. Mais il était très nerveux, et le
téléphone est tombé.
En ce moment, les hommes masqués sont entrés dans
le journal et ils ont crié:
-Allah est grand!
Les hommes masqués ont demandé qui était le
directeur.
-Qui est le directeur du journal?
Le directeur s´est levé, et les masqués ont
tiré, j´avais très peur. Je n`ai pas pu bouger.
-Le directeur est tombé!
-Il est mort!
Après, les masqués ont tiré dans toutes les
directions.
Je suis sorti par la fenêtre et je suis allé à la
terrasse. Après, je suis entré dans un autre bureau. J´ai vu une armoire et je
me suis caché dedans. Je suis resté dans l´armoire 15 minutes. Je n´écoutais rien.
Alors, j´ai ouvert la porte de l´armoire
et j´ai regardé á gauche et à droite.
Il n´y avait personne. Je suis allé dans le
couloir. Je cherchais un téléphone pour appeler la police. En ce moment, un
homme masqué m´a vu.
J´ai couru par toute la rédaction, mais, à la fin,
il m´a pris, parce que je suis tombé. L´homme a pris un couteau et il me l'a enfoncé
jusqu´au cœur.
Tout est noir. Alors, j'ai compris, j'étais mort.
J'aimerais avoir raconté cette histoire.
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